En tant que jeune salarié, investisseur immobilier, retraité, seul ou en couple, un
prêt immobilier a été contracté il y a 3 ans passés sur : la résidence principale ou secondaire, un bien neuf ou ancien, un investissement locatif.
Le remboursement sur l’échéancier a déjà commencé. Seulement voilà, l’emprunteur souhaiterait profiter de la baisse des taux actuels pour renégocier son contrat. Et il a tout à fait raison !
Pourquoi renégocier ?
Lors de l’examen du dossier, les mensualités, la durée et le crédit octroyé ont été fixés d’un commun accord, avec le banquier. L’offre de crédit actuelle a été calculée d’après : les revenus, l’apport personnel et la capacité d’emprunt.
Cependant ces conditions sont heureusement modifiables en fonction des fluctuations des taux, à la hausse ou à la baisse. On peut demander une baisse des mensualités ou de la durée.
Par ailleurs, il vaut mieux demander une renégociation quand on sent que le crédit est trop lourd à rembourser. Il est préférable de réagir plutôt que de devoir faire face à des incidents de paiement et d’être pénalisé.
A quels taux s’en référer ?
Le taux d’intérêt du prêt immobilier est l’élément clé de tout crédit. Celui qui a été choisi est-il vraiment adapté à la situation du créancier ?
Pour de meilleures comparaisons, voici les 3 taux sur lesquels il est préférable de s’en référer, comme l'explique
taux-immobilier.info, et qui feront toute la différence :
1. Le taux nominal
C’est le taux sur lequel on se base pour emprunter. Il ne comprend pas de frais de dossier, d’assurance et de garantie.
2. Le TAEA (Taux Annuel Effectif d’Assurance)
Les offres d’assurance crédit (ou emprunteur) aussi se comparent, d’autant plus qu’on peut le contracter dans un établissement indépendant.
3. Le TEG (Taux Effectif Global) ou TAEG
A partir du 1er Octobre 2016, le TAEG comprendra les coûts de dossier, les frais d’assurance et ceux de garanties obligatoires, ainsi que tous les autres, sauf les frais d’enregistrement de transfert de propriété.
Si 70 % du remboursement a déjà été effectué et qu’il reste moins de 10 ans d’échéance, renégocier ne rapportera pas grand chose.
Conseils pour bien négocier
Il faut avant tout savoir que certains critères comptent pour beaucoup afin d’obtenir un crédit immobilier. Les établissements financiers sont regardants sur la situation personnelle de l’emprunteur : la stabilité financière liée à la situation professionnelle, les revenus et l’état de santé. On peut s’adresser à un professionnel du financement, tel qu’un courtier. Il prendra en charge votre dossier de A à Z.
Après avoir renégocié votre taux d’emprunt, il est aussi possible de demander un rendez-vous avec un conseiller. Certains organismes financiers font preuve de davantage de souplesse pour les conditions de remboursement. Pourquoi ne pas en bénéficier ?
Exemples : différé des 3 premières mensualités, échéances modulables à la hausse ou à la baisse (pas plus de 10 %).
C’est aussi l’occasion de négocier pour l’avenir sur certaines clauses concernant :
- les frais de gestion
- les frais de dossier et de garantie
- le remboursement anticipé
Faire jouer la concurrence en faisant une comparaison ou une simulation des taux est aussi un autre argument de négociation.
Si vous souhaitez une démonstration concrète,
Moncreditimmo.org se charge de comparer et de trouver les meilleurs taux bas du marché. Consultez également
www.tauxpretimmobilier.net pour plus de détails sur les prêts immobiliers.